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Petit retour en images sur notre journée du dimanche 27 juin, avec au programme un atelier de création d’une couronne de fleurs séchées avec Mimosa et Tralala, un macramé mural bohème avec MoøoD et le trio de jazz Alfonisa Somewhere en concert l’après-midi.

Le soleil a carrément fait son timide, du coup on a passé l’après-midi en mode cocooning dans la grange. Et comme c’était chouette d’entendre de nouveau les notes résonner dans cet endroit que l’on aime tant.

Un petit tour du côté des ateliers pour commencer. Carole (Mimosa et Tralala) était installée dans le “studio”. La grande table en bois au milieu de la pièce se prêtait super bien à son atelier. Vu qu’elle est arrivée avec un wagon de fleurs séchées, au moins, ce n’était pas la place qui manquait !

Mélanie (MoøoD), elle, s’est installée dans la grange, comme la semaine précédente. Cette fois, elle a créé un macramé mural bohème. De toute beauté !

Et puis l’après-midi, nous avons accueilli le premier concert de l’année dans la grange. Alfonsina Somewhere nous a emmenés en voyage. Nous sommes partis de Cherbourg et nous avons voyagé dans les époques et à travers les continents. Un peu de swing à New York dans les années 30, de la bossa au Brésil, du tango en Argentine, des compositions, des standards de jazz, en français, en anglais ou en espagnol.

De voir les enfants jouer “comme à la maison” pendant le concert, franchement, on adore !

Et même les bébés sont au premières loges pour écouter de la bonne musique !

Cette année, nous avons la chance d’avoir Chloé avec nous tous les dimanches. Installée dans son food truck L’Esta Crêpes quand il fait beau, dans la grange quand il fait moche… Ses crêpes sont trop trop bonnes !

Rendez-vous dimanche 4 juillet (demain) avec l’après-midi, la pièce de théâtre Homo Campincarus, dans la cour de la ferme, à 16h.


Le synopsis ? Régis et Fauvette, un couple de Campingcaristes aguerris, s’enfuient de Franchouilly pour mettre leur camping-car à l’abri en Rosbeefie. Sur le point d’embarquer par le dernier ferry, ils tombent en panne et se retrouvent bloqués alors que la menace persiste d’une confiscation des Camping-cars par l’État. A travers leur périple et au-delà du côté anecdotique et parfois satirique de cette pièce, se pose une réflexion sur certains paradoxes de notre société et de nos comportements : envies de liberté, d’autonomie et d’aventure, besoin d’appartenance sociale, de confort et de sécurité… Et puis en filigrane, se dessine la question de l’immigration. Qui est l’étranger de qui?

A demain !

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